À quoi rêve Florence K ?

Que se cache-t-il sous la frange de la pianiste, auteure et compositrice ? Sacré mystère.

En matière de musique, Florence K a déjà tout essayé, ou presque. Bien sûr, elle a toujours été servie par des motifs imparables – l’amour, la vie, les voyages – , qu’elle a su brillamment mettre en musique au gré de ses sept albums, avec des entrelacs de couleur et une certaine grâce.

Née le 5 février 1983, fille du musicien Hany Khoriarty et de la soprano Natalie Choquette, Florence K a fait son entrée dans l’univers de la musique en 2005 avec un premier disque, Live au Lion d’or. Suivent Bossa Blue l’année suivante et La Historia de Lola en 2008, deux albums qui valent à la musicienne un Félix au gala de l’ADISQ dans la catégorie Musique du monde.

L’univers créatif de la polyglotte Florence K est l’un des plus personnels et des plus intimes qui soient. En se frottant aux musiques latines et à la bossa nova brésilienne avec des musiciens chevronnés, ses concerts ajoutent une touche d’exotisme qui lui sied à merveille. Florence prend de l’assurance sous les projecteurs. Il n’y a pas de malentendus ni de faux-semblants.

Elle triomphe en 2010 avec Havana Angels, son disque de Noël, en chantant avec justesse des mélodies qui explorent sa vision de la magie du temps des Fêtes et qui font craquer son public. Puis, en 2012, paraît Trilogia, une compilation de ses plus belles chansons.

En 2013, Florence K écrit et enregistre I’m Leaving You, plus autobiographique, dans lequel elle se livre davantage sur le plan personnel et qui vient confirmer son talent de compositrice audacieuse et avertie. Dans cet opus réalisé par l’exceptionnel Larry Klein (Joni Mitchell, Melody Gardot) à Los Angeles, elle prend plaisir à délaisser le piano pour le Wurlitzer et fait danser ses doigts sur ce clavier électrique tout en expérimentant une autre facette de sa musique.

En octobre 2015, elle publie son récit autobiographique Buena Vida (Libre Expression), qui ne laissera personne indifférent. Elle y raconte sans détour sa propre expérience de la maladie mentale, un épisode dépressif majeur qu’elle a traversé en 2011. Portée par la grâce, elle cristallise les 1,6 million de téléspectateurs de l’émission Tout le monde en parle en partageant avec courage cette étape intime et difficile de sa vie. Depuis, elle consacre une partie de son temps à militer pour briser les tabous entourant malheureusement, encore aujourd’hui, la maladie mentale.  Pas de doute, elle continue d’être où on ne l’attend pas.

Florence commence l’année 2016 en voyant son nom sur le disque Quiet Nights, Florence & Matt, véritable coup de chapeau aux orchestrations riches et aux ambiances suaves des années 50 et 60, qui revisite les grands standards du jazz et de la bossa nova. Quiet Nights se mérite une nomination au Gala de l’ADISQ 2016, en plus de la nomination de Florence dans la catégorie Spectacle de l’année pour Piaf a 100 ans, vive la Môme !

Les 11 et 12 octobre 2016, Florence K monte sur les planches de la Maison de la culture Maisonneuve, à Montréal, pour livrer ses nouvelles chansons en français, captées pour devenir Buena Vida en concert, son nouveau disque. Une étape marquante pour elle, un album qui propose un regard nouveau sur son vécu à travers des compositions fraîches et libératrices, continuité logique du livre, en plus d’ajouter avec brio une nouvelle corde à son arc : un album de chansons majoritairement en français. Grande fierté. Confiance renouvelée. Au total, Buena Vida en concert compte neuf compositions dans la langue de Molière (dont les textes ont été écrits en collaboration avec Gaële), une chanson originale en espagnol et cinq interprétations distillées comme le miroir de sa propre existence.  Florence K, rêveuse, chante mieux que jamais, en osmose avec les mots de sa plume confidentielle.

Buena Vida en concert termine avec sérénité une année charnière dans la carrière de Florence K.

Pour la première fois, cette artiste exceptionnelle livre un plaidoyer touchant et un message d’espoir à travers des chansons d’une beauté lucide, avec le talent qui l’habite et une passion indéfectible.

Le 14 février 2020, Florence K sera de retour avec « Florence », un premier album tout en français qui porte un regard sur la société actuelle, via les thèmes de la course au succès, la monoparentalité, la santé mentale, l’addiction, la face cachée de l’industrie de la mode et de l’apaisement du voyage… de façon intimiste.  Le 1er extrait « Pas grand-chose pour être heureux » chanson écrite en collaboration avec David Goudreault dépeint l’âme de ce nouvel opus etse retrouve dès aujourd’hui disponible sur toutes les plateformes.

David Goudreault, Moran, Daran, Jean-Jacques Marnier et Ben Riley ont joint leur plume à celle de Florence K pour tracer au fil de leurs mots, de leurs notes, un état des lieux tel que vu par les yeux de l’artiste. Et c’est l’excellent réalisateur Jean Massicotte qui lui prête son talent, son expérience, son écoute, sa musicalité et ses précieux conseils pour que sa vision continue à décocher une flèche en plein cœur de son public.

Rendez-vous le 14 février 2020 sur toutes les plateformes pour découvrir le nouvel album « Florence ».

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